Le monde connait une maladie qui a fortement bouleversé les habitudes des populations. Cette dernière a obligé les gouvernements à adopter de nombreuses décisions visant à barrer la route au Coronavirus dont la principale mesure est le confinement.
Confinement et émergence de nouvelles passions
La venue de la pandémie du Covid-19, qui a entraîné les mesures barrières parmi lesquelles le confinement, a contraint plusieurs personnes à se retrouver chez elles n’ayant pas d’occupation.
Des activités jadis oubliées ou reléguées au second plan ont réapparu, à l’instar du sport à domicile, la cuisine, le jardinage et l’agriculture.
L’agriculture, notamment urbaine contribue à l’embellissement de son cadre de vie avec le développement des espaces fleuris est un système alimentaire alternatif.
Agriculture urbaine une activité captivante
Photo: Pierre Castonguay
L’agriculture urbaine est une forme émergente de pratique agricole en ville. Elle est généralement pratiquée en petites parcelles et jardins individuels. On la retrouve sur les toits et arrière-cours.
On y cultive surtout des légumes et des fleurs variées favorisant la création d’habitat utiles aux pollinisateurs. Il s’agit beaucoup plus d’un loisir, d’une activité plus ludique que rentable.
Les écoresponsables y trouveront satisfaction à l’idée d’une agriculture qui réduit la pollution atmosphérique et les émissions de CO2 et de carbone.
Agriculture urbaine une priorité pendant le confinement
L’agriculture ainsi pratiquée favorise le bien-être. Elle permet de lutter contre le stress, l’oisiveté et la monotonie liés au confinement. Elle permet de s’occuper et de chasser les idées noires.
Par ailleurs, ce type d’agriculture donne un sentiment de fierté, c’est un moyen de passer du bon temps en travaillant. Elle est plus un hobby qu’une activité contraignante.
Un potager privé est le gage d’une production d’aliments frais, nutritifs et à coût réduit. Les déplacements vers les supermarchés sont ainsi réservés pour d’autres produits de première nécessité.
L’agriculture urbaine contribue à l’autoproduction d’une partie de ses besoins en fruits et légumes. Elle améliore la qualité de vie des personnes confinées. Elle est l’occasion de faire des activités physiques.
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